samedi 29 février 2020

LOURDE DEFAITE, DURE A L’AVALER ! (Laval 3 – SCT 0)

Consternation et colère du côté du Stade Le Basser, à l’issue de la rencontre, où l’on espérait une réaction toulonnaise, après l’encourageant 3-0 face à Villefranche. Au lieu de cela, on nous aura servi un piètre spectacle, dénué d’intérêt et sans l’envie qui aurait dû être de mise chez une équipe désireuse de jouer le maintien.
Le Sporting fait illusion pendant les 10 premières minutes de la partie, même si Laval alerte dès la 1ère minute, puis à la 7ème minute, le portier varois. Mais un pénalty un peu sévère vient redonner des couleurs aux tangos à la 12ème minute. Robic ne laisse aucune chance à Andreani qui plonge pourtant du bon côté.
Il faut attendre la 22ème minute pour voir une timide occasion toulonnaise. Et six minutes plus tard c’est Laval qui rate de peu le break.
Après la pause, le SCT change de tactique et fait rentrer du sang neuf avec Gomis et Bayo en lieu et place de Zouaoui et Muyumba.
Pourtant ce n’est pas mieux et on se prend un but d’école à la 51ème. Plus tard, on se demande encore comment l’attaquant lavalois a pu rater son duel, seul face à Andreani à la 75ème.
Gomis va tenter de porter davantage de danger devant les cages lavaloises mais sans succès.
Ranieri est remplacé par Preira à la 79ème. Et Laval se paye le luxe d’enfoncer le clou sur corner à la 83ème minute !
L’addition est lourde pour des toulonnais qui ont fait tourner le ballon jusqu’au bout et pour une équipe locale, certes bien en place, mais avec aussi beaucoup de déchets. Mais les joueurs de Laval se sont montrés réalistes et ont su se créer les occasions qui nous ont fait défaut.
On peut dire que ça sent vraiment les rillettes ! Pourtant la soirée aurait pu être excellente d’un point de vue comptable si les SCT avait fait le job, car nos concurrents directs ont tous eu la bonne idée de s’incliner… Ce manque de réaction a de quoi interroger et elle peut ressembler de l’extérieur à un sabordage en règle.
Il reste cependant encore 10 matches et un mince espoir de figurer parmi les meilleurs relégables. Il faut exploiter la moindre chance à fond et jusqu’au bout, car on sait que la situation financière de certains clubs amène chaque année son lot de surprise dans les relégations et dans les repêchages.
Vu que les dernières chances de maintien viennent de s’envoler, s’il reste une once de dignité et d’orgueil à cette équipe, nous lui demandons juste de faire le nécessaire pour ne pas finir dernière et il sera alors temps de s’en remettre au destin. Mais s’il vous plait, ne baissez pas les bras avant que d’avoir tout tenté, car à Toulon, cela n’a jamais fait partie de notre ADN.



jeudi 27 février 2020

CONFIRMER LA PREMIERE VICTOIRE

WEEK END DU 28 FEVRIER 2020

                                                                      Source FB SCT


24 EME JOURNEE

ADVERSAIRE : LAVAL










CLASSEMENT : 9 EME AVEC 32 POINTS


BIOGRAPHIE : Le Stade Lavallois Mayenne Football Club, appelé plus communément Stade Lavallois, est un club de football amateur français, fondé le 17 juillet 1902 àLaval. En mai 2017 le club est relégué en National 1, Christian Duraincie démissionne quelques jours après la fin du championnat. Philippe Jan est nommé président du directoire.


LES DERNIERS RESULTATS


N/D/V/D


JOUEUR A SUIVRE : ROBERT MAAH  / ATTAQUANT / 3 BUTS

Source STADE LAVALLOIS.COM




mercredi 26 février 2020

Un peu de calcul


La saison dernière il fallait 37 points au terme de la dernière journée pour se maintenir.
Cette saison, le SCT enregistre 13 points après 23 matches.
Il resterait donc (si la saison était identique à la précédente) 24 points à glaner (sur 33 possibles) en 11 rencontres. 
Le calendrier est le suivant :
Laval / SCT SCT / Créteil Concarneau / SCT SCT / Avranches Bastia / SCT SCT / Le Puy Boulogne / SCT SCT / Cholet Lyon Duchère / SCT SCT / Quevilly Rouen Béziers / SCT Ces 24 points peuvent être répartis ainsi : 7 victoires (21 pts), 3 nuls (3 pts) et 1 défaite (0 point).

samedi 22 février 2020

BR EN ETAT DE CHOC – SCT 3 / VILLEFRANCHE 0





Ambiance surréaliste à Bon Rencontre pour la réception de Villefranche. Si les tribunes sonnaient creux au coup d’envoi, c’est qu’une bonne partie des supporters avaient décidé de boycotter la rencontre ou de faire une entrée plus tardive. Longtemps une partie de la Mouraille aura scandé « dirigeants démission » et dans cette étrange ambiance, le Sporting ouvre la marque. A ce moment du match, il est légitime de penser que le Sporting ne va pas s’en tirer à si bon compte, car en face il y a un sacré client, qui ne pointe pas pour rien à la 3ème place du championnat. Et pourtant, tandis que résonnent encore les cris du divorce entre les supporters et la direction du club, on ne peut que regarder, presque incrédules, le tableau d’affichage, qui affiche fièrement un 3-0 sans appel.
Et dire que ce fut un match plein, est un doux euphémisme. Beaucoup de rythme et d’actions brûlantes, des buts et pas des moindres, et même si le Sporting a encore parfois trop reculé, c’est avant tout la victoire du cœur réalisée avec une énorme envie, presque un match de coupe. Non, les joueurs n’ont pas choisi de baisser les bras, ils ont retrouvé de la dignité et du panache, ils se sont fait plaisir et se sont prouvés qu’ils pouvaient réussir dans une période compliquée et un contexte peu favorable. Seul l’avenir dira s’il s’agissait d’une victoire pour l’honneur ou si elle va servir de déclic pour entamer une remontada qui tient du miracle, tellement elle arrive tard.

Composition SCT : Andreani – Sahnoune – Soumaré – Etcheverria – Fall – Zouaoui – Muyumba – Ranieri – Moulet (Bayo 71’) – Delgado (Guilavogui 60’) – Philippe (Gomis 84’)
Buts SCT : Philippe (15’), Bayo (75’), Guilavogui (94’)
Cartons Jaunes : SCT : Sahnoune 51’, Guillvogui (94’)
FCVB : 49’, 81’

La première alerte est pour le portier toulonnais qui doit détourner une frappe dangereuse dès la 3ème minute et sur le corner à suivre la balle rase le poteau d’Andréani.
Raniéri tente de bien réagir à la 4ème minute mais son tir passe à côté. Les visiteurs tentent de nettoyer la lucarne (5’).
Mais à la 15ème minute, Moulet ouvre lumineusement pour Philippe. La rapidité de ce dernier et la glissade du dernier défenseur, propulse l’attaquant toulonnais face à Sauvage venu à sa rencontre. Il pique magnifiquement son ballon pour ouvrir les compteurs toulonnais.
18ème Andreani plonge de manière déterminée pour empêcher l’égalisation. Puis à la 27ème minute, Philippe tente un lobe lointain, qui ne trouve pas le cadre.
32’ : un tir puissant de Delgado passe à côté. Deux minutes plus tard, une belle combinaison Ranieri/Delgado échoue de peu. Mais c’est surtout à la 38ème que Zouaoui rate l’immanquable face à la sortie hasardeuse de Sauvage.

Après la pause, les Toulonnais voulant conserver le score, reculent trop et c’est ainsi qu’ils se retrouvent en situation de danger à la 56’. Les vieux démons ne sont pas loin…
66ème : un coup-franc, superbement brossé, par Ranieri flirte avec la transversale.
Coaching gagnant, puisque sur un corner à la 75ème minute, Bayo qui venait de rentrer, récupère un ballon flottant pour le placer imparablement le long du poteau. 2-0, on tient alors le bon bout…
79ème Andreani fait montre de tout son talent sur le coup franc pour préserver le score.
82’ un très joli geste de Philippe ne trouve que le petit filet. Puis c’est Villefranche qui tente de loin à la 85ème de tromper la vigilance de notre gardien.
87ème Gomis qui fait une bonne rentrée, ouvre superbement pour Ranieri. Il élimine la défense mais sa balle manque de peu la lucarne.
Dans les arrêts de jeu, grosse frayeur quand Andreani relâche le cuir, il doit s’y reprendre à deux fois pour tranquilliser la situation.
Mais le clou de la soirée arrive à la 94ème quand Guilavogui nous offre un festival dans la surface, en se jouant magistralement à coup de crochets, de ponts et de feintes de tous ses derniers opposants pour venir ensuite parachever son œuvre et crucifier Sauvage dans le délire que l’on imagine. 3-0 !
Avec mon ami Bruno, nous regardons encore, en état de choc ce panneau d’affichage qui ne s’éteint pas, comme une lueur d’espoir dans la nuit toulonnaise, alors que le stade se vide. Oui, le Sporting s’est offert sa première victoire, une victoire large et généreuse, pas une victoire discutable mais magistrale et pu*** qu’elle fait du bien ! On en avait presque oublié la saveur…
Il va falloir maintenant concrétiser à Laval, mais si l’équipe propose le même jeu et connaît la même réussite, ce sera alors un nouveau championnat qui commence. J’aurai la chance de partir avec elle et de vivre ce déplacement de l’intérieur. Qui sait, je vais peut-être leur porter chance… En tous cas, ça part de là !

Article FRANZ A.

jeudi 20 février 2020

WEEK END DU 21 FEVRIER 2020 : ENFIN UNE VICTOIRE ?

23 EME JOURNEE


ADVERSAIRE : FOOTBALL CLUB VILLEFRANCHE BEAUJOLAIS

                                                                Source FB SCT



CLASSEMENT : 3 EME AVEC 40 POINTS

BIOGRAPHIE :Le FC Villefranche-Beaujolais est un club français de football situé dans la ville de Villefranche-sur-Saône.
L'équipe évolue au stade Armand-Chouffet, du nom d'un député socialiste du Rhône (SFIO) entre 1928 et 1940.
Le club évolue pour la saison 2019-2020 en National.


RESULTATS PRECEDENTS :
N/V/N/N

JOUEUR A SUIVRE : THOMAS ROBINET ATTAQUANT 9 buts 


Source : footballdatabase.eu



Article DAVID D.

samedi 15 février 2020

PLUS GOBI QUE RASCASSE – FC PAU vs SCT 3 – 0


Se rendre chez le second dans notre situation actuelle, n’était pas le scénario idéal pour se relancer (ou plutôt pour se lancer tout court). Mais de là à se prendre la première raclée de la saison…
Il y a belle lurette que la rascasse de pique plus, c’est un fait. Chaque joueur dans son coin tente de trouver la solution, tout seul. Les nouveaux, ont le sent, on envie de bien faire, mais le collectif semble faire défaut.
Pourtant, les Varois ont eu quelques phases de jeu intéressantes et même quelques superbes occasions.
Après un gros quart d’heure d’observation et pas grand-chose à faire pour les portiers, c’est Di Santantonio qui frappe de loin au but, le ballon est repoussé dans un premier temps dans les pieds de Karim Coulibaly qui rate l’immanquable à quelques mètres du but.
Peu de temps après, Geye en pleine lucarne troue les filets toulonnais sur un superbe coup-franc. (21’)
Suite à un corner Di Santantonio fait une belle reprise mais il manque le cadre.
A la demi-heure de jeu sur un corner palois, le break est fait à l’aide d’une superbe tête d’Antoine Batisse. (30’)
Et sur la remise en jeu, Coulibaly place une vilaine semelle et l’arbitre décide alors de l’exclure de la partie. Très sévère, mais à 2-0 et avec un joueur en moins, l’entreprise est plus que compromise. La question est de savoir combien d’autres on risque de se prendre…
Coaching gagnant en seconde période puisque Jarju vient crucifier les Toulonnais à la 64ème minute suite à un joli mouvement accompli en pleine passivité de la défense toulonnaise.
Andréani aura encore des occasions d’être à la parade au cours de cette 2ème période et sauve son équipe d’un bilan plus lourd.
A la 69ème Rayan Philippe nous gratifie d’un festival et décroche une frappe magnifique qui s’écrase lourdement sur la transversale. Un des rares traits de génie de la partie côté varois.
A la 74ème un coup franc de Muyumba bien négocié aurait pu connaître un meilleur sort.
La fin de la partie est un long chemin de croix. Le Sporting est maintenant bien assis dans l’ascenseur pour l’échafaud tandis que les irrésistibles palois filent vers leur destin et des lendemains heureux. Nous leur souhaitons toute la chance qu’ils méritent.
Quant à notre équipe, elle a de plus en plus des allures de gobi plutôt que de rascasse (petit clin d’œil à mon cousin munichois). Que nous reste-t-il dans cette saison en bois ? Rien, plus rien !
En revanche, il nous semble urgent de commencer à se retrousser les manches et à préparer la saison prochaine en N2. Car, on peut faire des erreurs, se planter complètement une saison, mais pas deux de suite !
Claude, si tu nous lis, nous attendons rapidement du concret pour la saison prochaine. Quel que soit le projet pour le club, il se prépare dès maintenant, il faut montrer que la dérive n’est pas définitive et que le Sporting a encore les moyens de prendre de vraies décisions, cohérentes et audacieuses et qu’il ne baisse pas les bras.

Article FRANZ A.

jeudi 13 février 2020

WEEK END DU 14 FEVRIER 2020 : AURONT ILS DU PAU ?

22 EME JOURNEE

ADVERSAIRE : PAU FC



CLASSEMENT : 2 EME AVEC 41 POINTS
                                                                         Source FB SCT


BIOGRAPHIE : Le Pau Football Club (souvent abrégé en Pau FC) est un club de football français fondé en 1920 et basé à Pau, préfecture du département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine. Le Pau FC tire ses origines du patronage catholique des Bleuets-de-Notre-Dame-de-Pau, qui hissa le football béarnais et du Sud-Ouest au plus haut niveau amateur, avant de donner naissance au FC Pau en 1959. Depuis cette date, la devise du club est « Vaincre ou sourire ».
Le Pau FC évolue de nouveau en championnat de France de football National depuis la saison 2016-2017, après avoir passé huit saisons en National 2 entre 2008 et 2016. 



RESULTATS PRECEDENTS :
N/N/V/V

JOUEUR A SUIVRE : CHEIKH TIDIANE SABALY  MILIEU /10 buts 


Source foot national.com

ARTICLE DAVID D



lundi 10 février 2020

RENCONTRE BOUDJELLAL / JOYE



Dans le cadre d’envisager la saison prochaine au Sporting, une saison d’ailleurs déjà pratiquement jouée, les Socios sont allés à la rencontre des deux projets autour du club. Ils agitent en ce moment la sphère toulonnaise et divisent les supporters.
Dans un souci d’information auprès des petits actionnaires, nous allons vous les présenter. Il ne s’agit pas de nourrir la polémique mais plutôt de rendre compte notre entretien avec Mourad Boudjellal et Claude Joye.
C’est un Mourad Boudjellal au CV impressionnant et auréolé des succès qu’on lui connaît avec le RCT, qui nous accueille. Il nous confirme alors son intention de reprendre la maison Sporting pour la ramener aux sommets, qu’elle n’aurait jamais dû quitter. Il pense d’ailleurs utiliser certaines recettes qui ont bien fonctionné avec le RCT et les appliquer au football local. Après avoir fait le ménage de fond en comble du côté de l’avenue Aristide Briand, Monsieur Boudjellal compte faire fonctionner son impressionnant carnet d’adresse pour ramener du côté de la rade, de gros investisseurs prêts à s’engager sur du long terme. Fort de ses contacts et de son potentiel médiatique, il sera alors temps de gérer le sportif et attirer un certain nombre de joueurs capables de faire la différence. Il s’étonne de constater que l’image du Sporting ne soit pas plus mise en avant et que le côté marketing soit délaissé ou plutôt sous employé. Si le RCT est devenu une imposante machine de produits dérivés et qu’il se soit imposé dans le paysage sportif français et européen, c’est bien avant tout, parce qu’il suscite de l’intérêt et de l’engouement grâce à une politique de communication et de merchandising bien exploitée. Le Sporting risque d’être son dernier gros challenge. Il l’a choisi car c’était le plus difficile et notre homme aime les défis. Il sait aussi tout le potentiel qui pourrait exister autour du projet. Il est très surpris par le nombre de messages qu’il reçoit depuis qu’il a publiquement déclaré son envie de présider aux destinées du SCT. Le Sporting fait partie de l’histoire de Toulon et il est temps d’occuper la place vide laissée entre l’OM et l’OGC Nice. Redonner à Toulon l’équipe qu’elle mérite et hisser le SCT aux portes de la L1 d’ici cinq ans, voilà l’ambition qu’il cultive. Vendre du rêve, faire de chaque match un évènement, créer du spectacle et faire du stade un lieu populaire où chacun pourra venir en toute sécurité, y compris les supporters d’autres équipes, c’est la mission qu’il s’est fixée. Sur ce point, Mourad Boudjellal souligne la triste situation de Bon Rencontre, un stade inadapté, sans aucun parking, ni navettes gratuites, une coquille vide qui rebute bon nombre de Toulonnais et un manque d’attractivité sportive qui contribue à le vider de plus en plus chaque semaine.
Même si pour le moment le club n’est pas encore à vendre, Mourad Boudjellal reconnaît l’apparente bonne santé financière du club. Ce qui le chagrine d’avantage ce sont les quelques prud’hommes en cours qu’il ne maîtrise pas. Pour la saison prochaine, il demande clairement à Claude Joye de partir dignement, la tête haute et lui propose une sortie honorable. Il affirme pour cela avoir l’appui de la mairie et de nombreux toulonnais.

Nous savons qu’entre temps, les deux hommes se sont enfin rencontrés. Monsieur Boudjellal a pu ainsi approcher de plus près les réalités d’un club de football et évoquer avec notre actuel Président la situation à tous les étages.

Quelques jours après, nous avions pris rendez-vous avec Claude Joye. Nous sommes revenus sur cette saison catastrophique concernant l’équipe de National. Pour le recrutement du début de saison, il a confirmé avoir pris, avec la cellule de recrutement, les bonnes décisions en écartant volontairement des joueurs ayant évolué au-dessus. Mais certains choix se sont avérés malheureux. Il admet qu’aujourd’hui les nouvelles recrues sont une satisfaction et que l’on remarque un mieux sur le terrain. Pour l’année suivante, Claude Joye n’a pas l’intention d’abandonner le club, même en cas de descente en N2. S’il reconnaît un déficit de communication, il est aussi conscient de la
complexité de la situation actuelle et réaffirme son étonnement sur la manière de procéder de Mourad Boudjellal.

Son bilan, au niveau de l’association, est plutôt satisfaisante avec un nombre historique de licenciés (près de 900) et des résultats chez les jeunes plutôt intéressants. Le SCT est bien le premier club du département.
Sur la rencontre entre Mourad Boudjellal et Claude Joye, on retiendra un premier rapprochement sachant tout ce que pourrait amener le patron du RCT.

Mais on sait aussi que Claude Joye a l’avantage de connaître le terrain et les rouages d’un club de foot. De là à imaginer que les deux pourraient travailler ensemble sur un projet commun, il reste encore un grand pas à franchir.

Les portes restent ouvertes, entre temps il y aura des élections locales, et on peut se demander si la mairie viendra arbitrer le débat. Quoiqu’il en soit, l’équipe dirigeante actuelle ne ménage pas ses efforts et espère toujours un maintien possible. Là-dessus au moins, tout le monde est d’accord…

Le bureau SOCIOS
        

mercredi 5 février 2020

WEEK END DU 7 FEVRIER 2020 : 3 POINTS POUR L 'ESPOIR ?

21 EME JOURNEE

ADVERSAIRE : USL DUNKERQUE

                                                                      FB SCT


CLASSEMENT : 1 ER AVEC 40 POINTS

BIOGRAPHIE : L'Union sportive du littoral de Dunkerque, couramment abrégée en USL Dunkerque ou USLD, est un club de football français fondé en 1900 sous le nom de US Malo-les-Bains. En 1919, ce club s'associe avec le Stade dunkerquois pour former l'US Dunkerque-Malo, qui s'illustre particulièrement en Coupe de France dès les années 1920., Le club, devenu US Dunkerque après une nouvelle fusion , il faut attendre 2013 pour que les locataires du Stade Marcel-Tribut retrouvent le National, niveau auquel ils évoluent depuis.                                         
                                
RESULTATS PRECEDENTS :
V/V/V/N


JOUEUR A SUIVRE : DIMITRI BOUDAUD  MILIEU OFFENSIF  9 buts 

                                      
                                                      FOOTBALLDATABASE


ARTICLE DAVID D.

dimanche 2 février 2020

Bourg en Bresse - SCT :Les cinq dernières minutes

Je me demandais ,avant l’entame de ce match ,comment l’équipe allait réagir avec les événements extra-sportif qui entourent le club, depuis un certain temps et qui se sont accélérés cette semaine... Il ne faut pas se voiler la face ,ce n’est pas avec ces événements que l’on aborde un match dans de bonnes conditions. Les joueurs ont déjà la pression sur le terrain et par rapport aux résultats depuis le début de la saison... Eh bien dans le premier quart d’heure , cela ne s’est pas ressenti car on a vu un beau jeu, de l’envie Bourg été pris à la gorge, mais petit à petit les joueurs ont commencé à reculer et au bout de la énième incursions dans le camp toulonnais, Bourg marque 1-0 . On a commencé à voir ou plutôt ressentir sur le terrain un certain découragement des joueurs toulonnais... Heureusement que la mi-temps fut sifflée. La deuxième mi-temps fut grâce a des changements, tout à fait différente, les toulonnais ont dominé .. On sentait rapidement que Bourg allait craquer qu’il ne manquait que le but et il a fallu attendre la 85 ieme minute. Sur un cafouillage dans la surface de réparation Bayo marque...
Le peu de toulonnais présents au match exultent Tous pensant que le plus dur était fait ,même certes si on avait besoin d’une victoire, il ne fallait surtout pas perdre !
Mais c’était sans compter sur la détermination de Bourg sur La seule incursion de la deuxième mi- temps, Bourg sur un contre marque deux minutes plus tard..
Ce fut le coup de massue un silence de mort dans la tribune côté toulonnais.
L’arbitre siffle cinq minutes plus tard la fin du match . Certains joueurs étaient en pleurs.
Vont ils s’en remettrent ... N'est ce pas là , la défaite de trop... Moralement et comptablement ... La saison n’est pas finie mais le gouffre se rapproche dangereusement....


ARTICLE / ROMUALD L
Vu par Delio Toulon à 09:15